ESTELLE, la 5ème génération à l’œuvre

La vigne coule dans son sang et elle a été élevée sur le domaine.

Si elle s’en est éloignée un temps, pour des études de commerces, puis deux expériences professionnelles, à Londres puis à Madrid, c’est pour mieux y revenir – symboliquement l’année du centenaire de la création du Château Lestrille en 2001 – titulaire d’un mastère de gestion d’exploitation viticole à Bordeaux Sciences Agro, et riche de l’expérience de deux saisons de vinification, l’une à Bordeaux, l’autre à Marlborough en Nouvelle-Zélande. Cette dernière, dans « LA » région spécialisée dans le Sauvignon Blanc, n’est pas anodine dans ses choix à la reprise des rennes du domaine familiale.

La première femme à la suite de quatre générations d’homme a en effet rapidement su imprimer sa patte, toujours dans le respect des traditions, mais sans jamais cesser de se réinventer.

LE GRAMOPHONE, tout un symbole

Inutile de chercher le lien entre un gramophone et la vigne, ce bel objet ancien permettant de jouer de la musique n’est autre qu’une légende familiale traduisant à merveille tout l’esprit Roumage : leur côté festif et bon vivant en toutes circonstances.

Il tournait plein pot dans les années folles, les aïeux conviaient discrètement leurs amis pour danser sur des chansons interdites à l’époque par le curé du village, dont la fameuse « Elle a perdu son pantalon », et il a continué de ravir les générations suivantes.

Ma grand-mère

Du haut de ses 1m55, elle déplaçait des montagnes, toujours affairée, un sourire aux lèvres. Cuisinière hors pair, elle excellait dans la préparation des salmis, gibelottes et autres sauces au vin, que mon grand-père accommodait de ses meilleurs crus. C’est elle qui nous a donné l’amour des de la cuisine et du partage.

LES JARDINS, aux origines de l’entreprise familiale

C’est Eugène, arrière-arrière grand-père d’Estelle, jardinier de métier, qui a acheté les premiers arpents de vignes.

Sa passion pour le vin a manifestement continué d’irradier au fil des générations suivantes, mais celle pour les jardins aussi.

Son émerveillement devant la nature s’est largement transmis, et on sait toujours où trouver un Roumage pendant son temps libre… parfois contemplatif mais plus souvent actif dans les jardins.

LES AÏEUX, un savoir être en héritage

Dans la famille Roumage, je demande le grand-père : Robert, prix cantonal du certificat d’étude – véritable fait d’arme à l’époque. Personne n’a pour autant réussi à le convaincre de s’éloigner de sa vigne pour poursuivre ses études au-delà du lycée ; son lègue : l’amour inconsidéré pour la nature, le sens du travail acharné, le goût pour la facétie, pour le plus grand plaisir de son entourage.

Le père : Jean-Louis, ingénieur de formation, bâtisseur dans l’âme, et référence absolue en matière de chants d’oiseaux, de fleurs sauvages et tout ce qui concerne la nature.

LA TABLE, 120 ans de tintements de verres, de rires, de discussions

Que ce soit lors d’un passage à l’improviste, à l’occasion d’un dîner organisé avec les petits plats dans les grands, ou lors des soirées ou apéros tapas, la table de Lestrille est toujours accueillante, chaleureuse, généreuse, et bruyante dans le bon sens du terme : de la joie, des débats passionnés sur les travaux à venir dans la vigne, des réflexions sur les argiles collantes au printemps ou dures comme de la roche en été…

Comme au temps du gramophone, ce qui fait vibrer les hôtes de Lestrille est le partage et la bonne chère.

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+33(0)5 57 24 51 02
15 route de Créon à Saint-Germain du Puch

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